Le prétexte, ce sera donc Antiviral de Brandon Cronenberg. Le nom vous dit quelque chose, le prénom aussi. Un prénom de série ; le nom d’un « grand » metteur en scène. Je sais pas trop bien ce qui m’a conduit à ce film. La volonté de répondre à la question, que deviennent les fils de cinéaste quand ils veulent faire du cinéma ? Le désir de voir quelque chose, du neuf, en croyant le trouver dans un premier film. Une belle illusion : quand un débutant commence par faire du neuf, c’est un géant, c’est Welles ou Godard. Mais généralement, un premier film, c’est juste un premier film. Lire la suite »